Le bout du tunnel semble encore loin pour les propriétaires malchanceux. Pour rappel, leur maison, acquise en 2020 pour un euro symbolique en échange d’une restauration complète , fait l’objet d’importantes infiltrations d’eau qui entraînent sa dégradation jour après jour. Laurane et Jonathan ont multiplié les travaux pour en découvrir l’origine , jusqu’à ce que l’hypothèse la plus improbable soit retenue : l’eau s’écoulerait de la colline contre laquelle une partie de la maison est adossée.
Des travaux coûteux devant être engagés (voir encadré), le couple s’est tourné vers la municipalité qui leur a vendu le bien, espérant obtenir une prise en charge financière. Réclamation notamment fondée sur la mise en œuvre de la garantie des vices cachés prévue par l’article 1641 du Code civil.
« Les élus étaient à l’écoute de notre problématique »
À la demande des propriétaires, une médiation a eu lieu le 7 novembre en présence, notamment, du maire de la ville, Axel Dugua. « Le rendez-vous s’est…